Beaucoup de fruits, aérien, élégant, très fin, complexe. C’est son tannin en trois dimensions qui nous interpelle. Quelle sensualité !

Aromatique, joli boisé en attaque, plus amer en finale, à revoir en fin d’élevage.

L’équilibre de ces damodes s’inscrit dans le registre de la finesse bien que des notes d’élevage le couvrent. Mais la matière devrait certainement prendre le dessus.

Délicat, parfumé, tendre.

Puissant, bien structuré, un vin complet, riche en saveurs. Tannin gourmand, racé, la finale sur l’acidité n’est pas en place. La bouteille dégustée après une mise récente méritera d’être goûtée à nouveau.

Racé, très plein, un jus magnifique dans lous-rougeos. Le tannin est très fin tout en restant légèrement anguleux.

Très grand style, au firmament des grenaches du Languedoc. Il a tout pour lui, finesse, délicatesse, charme, gourmandise. Un match avec les meilleures cuvées de grenache des meilleurs terroirs du sud de la vallée du Rhône aurait une issue incertaine.

En grand timide, il requiert encore l’œuvre du temps qui passe pour achever le tableau. Déjà on devine son éducation impeccable, sa complexité chatoyante et sa conversation enlevé. Un bandol comme on les aime.

Il a de la conversation. Cultivé et structuré, il est comme un livre d’Hemingway : tout en légèreté au début, il gagne en profondeur au fil des pages.

Encore sur la réserve, il montre déjà une structure bien posée, des tannins fins, un toucher de velours et une fraîcheur bien posée. Droit, pur, fin, il prendra l’âge gracieusement. Les impatients le caraferont.

Souple et harmonieux, il reste pour le moment sur sa réserve. Vin de grande garde, ne vous pressez pas. Il s’épanouira avec le temps.

8 000 bouteilles seulement. 95 % de grenache (de 80 - 90 ans), pour une cuvée d’une extrême élégance et d’une très grande régularité.

Lors de notre passage au domaine, cette cuvée, prélevée sur cuve, venait tout juste d’être assemblée. Syrah et grenache sont vinifiés en vendange entière pour un degré alcoolique ne dépassant pas 13,5°.

Bel ensemble fruité et floral au nez, la bouche est pulpeuse, avec un grain de tannin de grande qualité. Grand style.

Catherine Maisonneuve et Mathieu Cosse ont créé avec cette Margueritte l'un des plus grand et ambitieux vin de cahors, donnant par la même un nouvel horizon à cette appellation longtemps engluée dans une médiocrité incompréhensible au regard de son énorme...

Un fruité épicé assez attrayant, les tannins sont un peu saillants à ce stade, à attendre.

Des arômes étonnants de foin séché dominent ce vin rouge, la bouche est fraîche et précise.

Brillant et fin, ce rouge délicat aux contours extrêmement ciselés procure un plaisir fou.