Robe pâle, nez peu ouvert, sur la réduction, assez intense et énergique mais loin d’être prêt.

Quatre ans de fût et un très vieux marc profilent ce macvin onctueux, aux superbes notes d’amande, de praline et de fruits secs, de cacao et de noisette d’une grande pureté d’expression. Un long ruban varié et suave, qui n’en...

Un nez tout en pureté, fruits mûrs et agrumes zestés, la bouche affiche un équilibre ciselé, vif et nerveux. Moins riche que la gamme cépage, il y gagne en verticalité et en élégance, belle fraîcheur et bel avenir, finale soyeuse.

40 000 bouteilles de cette qualité, c’est beau. Léger, gracile, souple et fruité, ce crémant passé en partie en fûts est impeccable.

Entame ronde, fruits à chair pour les parfums, belle trame saline et salivante, gourmand, équilibré, consensuel, parfait apéritif.

Fraîcheur, netteté, densité, exceptionnel de finesse.

Chardonnay sous voile et savagnin ouillé à parts égales forment un duo de charme, au cœur de bouche suave, apaisé, glissant. Longiligne et profond, il sort du lot par sa finesse.

Intense, précis, pur, sans réduction, encore plus équilibré qu’en 2014, assemblage d’en-ormeau et de casse-tête.

Beaux parfums élégants de fruits frais, fine note beurrée, entame de bouche pure et élégante, de petits amers viennent égayer la puissance du fruité, assez compact mais de l’énergie.

Très miellé au nez, un fruité jaune bien mûr, la bouche est gourmande mais avec une belle fraîcheur vive et équilibrante, une fois de plus le terroir de Larnage brille en blanc.

Plénitude de bouche, épanouissement des saveurs, texture onctueuse et de belle épaisseur, notes de champignons des bois et de grillé très attirantes, persistance et intensité. La finale puissante est bien équilibrée.

Approche très pure du corton-charlemagne, expressif en agrumes bien mûrs. La superbe salinité développée en fin de bouche accompagne une finale de très grande longueur. Un nouveau chef-d’œuvre à mettre à l’actif de Jean-Charles Le Bault de la Morinière avant...

Bouche bien charnue, fruité rouge et noir complexe, texture caressante enrobée par des tannins bien gainés, encore un peu jeune mais toucher prometteur, moins en place aujourd’hui que l’alsace blanc ce qui n’est pas étonnant.

Plus rond, plus gourmand que le petit-chablis, lui est aussi est séduisant par son fruité et sa finale bien vive.

Nerveux, incisif, pur, gourmand, déjà prêt, idéal petit-chablis, bien équilibré.

Intensité minérale et crémeuse avec des accents d’amande et de noisette autour.

À peine plus d’un demi-hectare, nous aimons les arômes floraux, rose ancienne, pivoine, les tannins délicats comme le corton le permet parfois et cette somptueuse finale saline, d’une rare délicatesse.

Dans un style tout en tension savouresue, ce vin se livre tout de suite.