L’équilibre de ce bonnes-mares est très abouti, issu du côté Chambolle et non Morey comme beaucoup de bonnes-mares. D’une rare subtilité, salin et très fin. Très grande bouteille mais pour les patients.
Assemblage de premiers crus, vinifié avec une partie de récolte en raisins entiers. Particulièrement profond, vin d’une rare concentration en AOP Beaune. Dans un style plus sérieux que le volnay-brouillards mais de grande race.
Plus meursault qu’auxey mais le plus long des auxeys dégustés au domaine. Longueur superbe sur le miel, les petits fruits jaunes délicats, mûrs et racés, d’une grande élégance.
Réalisé à partir de six différents millésimes dont le plus jeune est 2003, associant vins de réserve (vins tranquilles vieillis en cuve ou en foudre) et champagnes remis en cercle, c’est à dire débouchés puis champagnisés à nouveau avec l’assemblage...
Une pointe fumée dans les arômes, la bouche est pure et vibrante, mais sans la salinité ni la densité du furstentum dans cette qualité. Son élégance est son meilleur atout.
Une robe plus claire que le 2006 dans la même cuvée. Une liqueur de pâte de fruits, une onctuosité particulièrement gourmande, belle vivacité équilibrante assortie d’une pointe saline qui accentue les saveurs, on ne quitte pas le registre de la...
Le vin n’est pas encore assez précis sur le plan aromatique mais évidemment fait avec des raisins botrytisés un peu moins nobles que ceux du grand vin.
L’archétype du monbazillac, puissant, expressif. Un modèle d’équilibre pour une telle richesse. Cette cuvée madame est une nouvelle fois le sommet de la dégustation.
Épuré, tendu par des amers minéraux qui lui donnent une rare élégance, il se délie progressivement et demande un peu de patience, grosse réserve et bel avenir, mais pas prêt. Un muenchberg dans un style puissant et costaud.