Catherine Maisonneuve et Mathieu Cosse ont créé avec cette Margueritte l'un des plus grand et ambitieux vin de cahors, donnant par la même un nouvel horizon à cette appellation longtemps engluée dans une médiocrité incompréhensible au regard de son énorme...

Un fruité épicé assez attrayant, les tannins sont un peu saillants à ce stade, à attendre.

Des arômes étonnants de foin séché dominent ce vin rouge, la bouche est fraîche et précise.

Brillant et fin, ce rouge délicat aux contours extrêmement ciselés procure un plaisir fou.

Grande délicatesse dans la profondeur de tannin, avec une très superbe pureté dans le fruit.

Aérien, floral et caressant, on est sur un vin tout en infusion avec un tannin ultra fin.

On est plus en infusion qu’en concentration, avec une texture et des parfums très raffinés.

Beaucoup d’éclat dans le tannin, avec une texture de rêve et un équilibre parfait.

Générosité et tension dans le tannin avec un côté expressif de bon aloi. On se régale !

Tannin assagi et caressant bouche avec la densité du millésime et la maturité.

Il est urgent d’attendre car le vin est pour l’instant monovalent.

Ce vin vient de sortir de sa réserve et a pris du velours et de la profondeur.

Belle énergie au nez comme en bouche, avec le velouté du millésime et la profondeur sur le fruit.

Il faut carafer ce millésime trois heures avant le service, car cette année du siècle a tendance à se refermer.

Fruit encore enjoué, il y a une belle allonge poivrée. Belle expression de cabernet sur ce millésime.

Goûté avant mise. Fruité très puissant, un peu confit, dommage que le tannin sèche un peu en finale.

Goûté avant mise. Le fruité est bien mûr, la bouche ronde et assez souple pour le millésime, droit et bien dessiné.

Grosse trame tannique, le fruité a été un peu resserré lors de la mise récente, le toucher de tannin est charmeur et subtil, allonge, densité, équilibre savoureux.