Assemblage composite des différents terroirs, argiles, cailloux, sables. Avec 50 % de vendanges entières, des vignes enherbées, on perçoit le grand classicisme des amoureuses qui, combiné à l’austérité native du 2015 ici font un vin qui combine puissance et souplesse...
Forte proportion de vendanges entières dans un vin plein, bien constitué, aux tannins serrés mais sans la moindre rusticité. À carafer pour dégager les arômes si on veut le boire vite. Plus typé morey que gevrey dans sa panoplie d’arômes.
Climat séparé des Malconsorts de Vosne par les Boudots. Le vin est très différent, plus en puissance, profond, long, finale terrienne quand les vosnes du domaine jouent l’élégance.
Climat en dessous des Malconsorts. Rouge à la fois délicat dans l’expression du tannin et puissant dans la construction de finale. Très belle suite de bouche saline.
Minuscule enclave en partie basse de la Romanée-Saint-Vivant. Il a l’esprit de la romanée-saint-vivant avec, dans le millésime, une finesse hors normes. Finale saline et délicieusement viandée.
Une race exceptionnelle dans ce chambolle d’une tendresse infinie, au meilleur niveau possible d’une appellation village. Un charme fou, un sommet de finesse.
Pommard de grand fruit. Presque atypique pour le finage tant il est ouvert. Ce qui n’exclut pas une réelle profondeur avec des tannins visibles mais tendres.
L’un des vins les plus tendus de la cave, dynamique, de grande finesse. La scène qui se joue ici est longue, très large mais fermée pour l’instant. Grand vin de garde.
C’est un ladoix en réalité mais il est traditionnellement revendiqué en aloxe-corton. Arômes enveloppants de fond de bouche toujours délicats. Finale menthée, fraîche.