Ample, complet, belle constitution en bouche, un champagne complet, intéressant tant à l’apéritif qu’à table.

On est sur des accents pimentés avec une grande finale sur le graphite.

Le fruité classique rehaussé de notes vanillées jaillit du verre. La bouche est riche, ronde, avec ce qu’il faut de fraîcheur. Beau vin.

Intensité de fruits, d’épices et une apothéose saline, grandes caudalies en finale avec de l’éclat.

Tout en légèreté et en vivacité, cette cuvée apéritive séduit.

La puissance du millésime sur des expressions de cramant et de chouilly bien corsetées par cuis, oger et vertus.

Peu dosé, très apéritif, exprimant des notes d’agrumes et de fruits rouges séduisantes mais témoignant en bouche d’une belle maturité, brut non millésimé de grand style.

Issu uniquement de grands crus, ce champagne noble et allègre, profond et élancé, séduit par sa dimension ultra raffinée mais aussi par sa vinosité.

Champagne confortable mais en même temps fruité, savoureux et brillant. La cuvée a aujourd’hui ce caractère brioché qu’affectionne le chef de cave Régis Camus mais ne manque pas non plus de tension. Du beau travail.

Souple, gourmand et fruité, avec des notes de miel. Il y a du raffinement et une accessibilité immédiate.

Son style est plutôt généreux, avec des arômes de paille et de prune jaune, le tout dans la précision.

Taillé pour la grande garde, ce premier cru encore serré affiche un sacré potentiel.

Tranchant cristallin absolu comme la lame d’Excalibur, avec une vibration minérale éclatante. Potentiel superbe pour cajoler le homard.

Parfaitement frais et ample, ce 2000 n’exprime cependant pas le même naturel dans l’expression de son fruit que le 2009 : en neuf ans, Richard Geoffroy a imprimé une véritable révolution dans le style de la marque...

Cette cuvée de meunier, restée 42 mois en cave et dégorgée en janvier 2017 offre des rondeurs tout en frivolité. C’est un vin de rendez-vous galant.

Frais, fruité floral, acidité mais sur la rondeur, élégant, souple, net et franc. Un caractère juvénile et direct, très différent du brut, avec une tension qu’apprécieront les connaisseurs.

Un moelleux qui arrondit la bouche, la fraîcheur et la minéralité sont là, de beaux amers équilibrants mais un style pas totalement sec. Avis aux amateurs. Il faudra bien 5-6 ans pour que cela se fonde.

Une bouche puissante avec une forte expression saline, une générosité due à l’alcool dans ce millésime solaire mais la bouche le supporte, droit et dense, les parfums restent discrets mais sa structure de bouche est intéressante.