Puissants parfums de poivre et de pivoine, bouche élancée et épicée, lui aussi a conservé un certain résiduel (44 g/l) mais la puissance de bouche et les beaux amers texturants lui donnent du coffre. Trop jeune.
Entame de bouche empreinte de salinité, la bouche est étonnamment séveuse pour des jeunes vignes, mais dans ce millésime de nombreuses parcelles ont été déclassées ce qui le corse généreusement. Le plus accessible de tous les rieslings.
Parfums puissants, le fruité et les fleurs séchées sont très présents, il est plus porté par ses amers de sol que son acidité, dans ce millésime d’acidité basse. Original dans la série, mais intéressant.
Un nez agrumes très mûr, puissant, marmelade, l’entame de bouche est riche mais le vin goûte sec, riesling puissant pour plats en sauce, finale bien pure.
Il n’a pas voulu fermenter jusqu’au bout et hélas a conservé 5 g/l de résiduel, c’est peu mais suffisant pour lui enlever du punch, il cherche encore son équilibre. Sans doute quelques années en bouteille lui feront-elles du bien, la...
Un équilibre plus frais et plus savoureux que le riesling générique, de la tension, de la densité, une belle trame fraîche et salivante, superbe et bien sec.
Des parfums de fruits très mûrs, pâte de fruits et fruits plus juteux, bouche riche, gourmande, salivante, belle finale tonique pour ce millésime de haute maturité. Il faut prévoir une sauce crémée pour éponger la légère impression de résiduel.
Un vin plus intéressant en bouche qu’au nez, par son épaisseur et son onctuosité, certes on reconnaît les apports respectifs du pinot gris et du riesling mais ils se marient bien, belle fraîcheur, par son élégance il demande un rôti...
Issu de terroirs du Trias exposés à l’est, ce jaune de grande délicatesse, fin et onctueux, aux notes d’épices douces et d’amande, est un modèle de complexité.