Dégusté à nouveau en février 2017, on lui trouve des notes chocolatées, il a un caractère sauvage et élégant. La finale révèle des épices, des herbes sèches et du laurier.

Très torréfié, vineux et profond, moins immédiatement épanoui que le 2006 de cette même cuvée, beau champagne de table.

Le nez est complexe, exotique avec des notes d’ananas rôti. En bouche le fruit est à parfaite maturité, dans le solaire du millésime, avec une magnifique fraîcheur en finale.

Un fruit mûr et croquant, de l’amplitude et de la longueur. Le vin occupe tout l’espace par son volume et sa complexité. Un grand potentiel de garde. (Disponible uniquement en caisse panachée).

Beaucoup de caractère et de minéralité, salin, long, sérieux.

Plus en chair et en volume que le fronholz, avec plus de puissance, l’équilibre n’est pas encore en place, il doit relier son début et sa fin de bouche. Encore un peu massif, dense, il lui faut du temps, mais...

Fruité blanc fin, frais et légèrement confit, note de boulangerie aussi, le long élevage sur lies est passé par là. Bouche élancée, épurée et fraîche avec une finale vive et fruitée sur l’ananas frais, minéralité poudrée, il goûte sec.

Un fruité agrumes très pur, une bouche tonique avec un léger arrondi qui se fond bien dans la grande acidité, élancé et citronné mais pas encore en place au niveau de son équilibre de bouche, beaux amers minéraux en finale.

Pureté du fruit blanc, bouche charnue et gourmande, avec une belle tension vibrante, encore un peu jeune, on peut le faire vieillir un ou deux ans car il doit gagner en harmonie. En confiance.

Bouquet crémeux, boisé, qui révèle progressivement un fruit très pur et complexe. Beaucoup de structure, grande longueur. Vin complet, équilibre parfait.

À notre sens le plus abouti, le plus complet des Y récents, conjonction de conditions climatiques idéales et du perfectionnisme de l’équipe technique. Aucun vin sec du Sauternais ne l’approche pour le moment.

Une des plus belles expressions imaginables des blancs secs à Bordeaux, d’une race formidable et surtout d’un élan jamais donné par la technique.

Six cépages accordés autour d’un jus friand, facile, glissant. Un petit canon pour tous.

Nez des plus raffinés, avec la structure tendue, profonde, terrienne mais aussi aérienne du grand corton quand il est issu des meilleurs climats de ce cru, renardes en fait partie.

Très élégant avec ses notes de zestes d’agrumes et sa minéralité tendue et délicate, le vin s’affirme sereinement en bouche et révèle une magnifique et délicate persistance.

L’intensité de saveurs s’installe progressivement et gagne en complexité quand le champagne se réchauffe dans le verre.

Au pays du cramant levant, on aime cette expression crayeuse qui donne de la complexité à la richesse du millésime.

Accents de brioche et de noisette avec une texture à la fois ferme et crémeuse et une profondeur ciselée.