On retrouve toute la finesse de Billecart dans ce très joli brut aérien, élancé, aux fins arômes d’agrumes et de petits fruits rouges, au dosage parfait.
Certainement l’une des expressions les plus magistralement abouties du style Bollinger : allonge onctueuse et racée, bulle ultra fine, profondeur saline et finement aromatique, intensité et élégance. Somptueux.
Un nez de grande puissance, concentré, porté par les citrons mûrs et des fruits plus exotiques. La bouche est opulente, avec une légèreté de texture qui contraste avec la haute maturité de fruit et le résiduel marqué, encore trop jeune...
D’équilibre demi-sec assumé, le résiduel est bien épaulé par une acidité pleine d’énergie, il faut l’apprécier pour ce qu’il est car la finale est vive. Il goûte plus vif que le furstentum même s’il est moins huppé.
Un nez de craie mouillée très élégant, typique de ce sol calcaire, la bouche est bien droite, salivante et gastronomique, toujours sur cette fine trame calcaire qui tonifie son style parfaitement sec. Il va gagner en chair avec un peu...
Au premier nez, on plonge dans l’austérité minérale et saline des sables granitiques du sol, à l’aération la pâte de citron confit reprend le dessus. Bouche originale, où la forte liqueur (122 g/l) est fondue dans une acidité très vivace,...
Porté par de puissants parfums de fleurs dorées au soleil, agréable sensation salée en bouche qui permet de fondre la liqueur, savoureux, épanoui, trame plus serrée en fin, le savoir-faire de la maison ne change pas.
Puissants parfums de poivre et de pivoine, bouche élancée et épicée, lui aussi a conservé un certain résiduel (44 g/l) mais la puissance de bouche et les beaux amers texturants lui donnent du coffre. Trop jeune.
Entame de bouche empreinte de salinité, la bouche est étonnamment séveuse pour des jeunes vignes, mais dans ce millésime de nombreuses parcelles ont été déclassées ce qui le corse généreusement. Le plus accessible de tous les rieslings.