Vino

Franc et digeste, ce poulsard assume son croquant et sa droiture.

Les vignes de 1952 donnent un jus et un relief superbes à ce rouge tout en fruit. Marqué fruits noirs, il offre une chair dense, croquante et juteuse, de pleine énergie.

Sur un équilibre de vin blanc, ce rouge pâle se détache en délicatesse, arborant de fines notes de groseille et de cassis.

Juteux, fin, délié, le rouge glouglou par excellence.

Sans soufre, ce rouge léger et tonique affiche un beau grain, des notes fraîches.

Sur le côté calcaire des Corvées sous Curon, sous la tour de garde qui surplombe le coteau d’Arbois, ce pinot de grand jus, tannique et croquant, sans soufre, est très fin.

Ce pinot 100 % grappes entières, sur argiles, sans soufre, montre un jus ferme et épicé, frais et chatoyant.

On est plus dans l’élégance et le soyeux que dans l’intensité d’un 2011. Expressif dans sa poyeusité, ce millésime charme déjà.

Poyeutant du début à la fin de bouche avec une énergie habillée de velours côtelé, ce millésime commence à bien émerger.

Soyeux cerisé avec cette profondeur enrobée qui fait le charme de ce millésime exceptionnel, c’est très bon et ce sera excellent dans quelques années.

Tout en fraîcheur, ce vin est très raffiné avec une forme de salinité en finale.

Le vin s’est refermé mais on en perçoit tout le potentiel.

Une belle matière richement extraite donne à la fois de la vivacité, de l’élégance et de la puissance à cette cuvée. Très beau travail.

Légèrement refermé depuis l’année passée, il reste merveilleusement délicat et d’une superbe floralité. À conserver quelques années avant d’y toucher.

Le tranchant et la minéralité d’un tel cru appelle le homard.

Intensité et race, encore très jeune grand potentiel d’avenir, donnons-lui le temps.

Bouquet très fin aux notes de tilleul, bouche harmonieusement ample, belle fraîcheur. Impeccable dans son registre.

Harmonieux, peut-être même plus que le grand vin, notes racées de cèdre, droit, encore un peu ferme, précis, authentique.