Premier millésime dédié à Hubert de Montille, la cuvée ne sera produite que les grandes années. Suavité de tannin avec la puissance se combinent de la plus belle des façons sur une expression de fruit lumineuse.
Située entre la partie haute des Fremiers et les Rugiens Bas, cette parcelle de 1,4 hectare livre ici un pommard très classique. Puissant, sur la structure plus que sur le fruit. Très bien construit avec un potentiel certain.
Terroir plus drainant que les charmes proches, ce qui a son importance en année humide. Un extrait de goûts, un concentré de saveurs. Plein et profond, sans concession, avec une énergie rentrée, il est taillé pour la garde.
Joli jus fin, racé, long, très élégant dans sa structure, subtil, délicat. Le caractère flatteur des charmes avec une construction élégante autour des amers.
Le sous-sol des Fuées est un prolongement de la roche-mère des bonnes-mares. Savoureux, fin, racé, de bonne longueur, suave et frais. Onctueux, tannin ourlé.
Joli terroir caillouteux qui s’exprime ici avec grâce, délicatesse dans un registre fruité noir. Le gevrey d’élégance, fin et racé, que l’on trouve décrit dans les livres.
Vin sensuel, profond, délicat, long, racé. Très beau style inscrit dans la finesse permise par les Longeroies. Superbe marsannay de ce cru qui s’inscrit pleinement dans la revendication en futur premier cru.
La dimension sablonneuse du terroir se ressent dans le vin. Finale plus minérale que dans les autres gevreys de la cave, tendue mais sans aucune astringence.