Onctuosité et fermeté dans le tannin marquent les premiers instants en bouche, puis le vin reste en boule. On sent tout le potentiel, mais il faut se montrer patient. Pour l'instant moins pur que le 2008.
Dans une dégustation à l'aveugle avec les premiers crus de Pauillac, ce vin est arrivé par deux fois en tête par sa juste concentration et sa complexité, dans un style ultra raffiné, et une finale montante magnifique.
Plénitude en bouche avec un tannin frais, justement enrobé, poivré et épicé et une finale de framboise toute en fraîcheur.Puis le vin prend du volume dans le verre et possède un sacré potentiel, un retour de cassis et de havane.
Ample, élancé et émouvant, ce chassagne au parfum enjôleur témoigne parfaitement de cet esprit de finesse qu’on ne peut trouver qu’en Bourgogne (et pas chez tout le monde !)
15 ares de vignes de 85 ans, sur un total de 25 ares de superficie sur ce climat juste sous le Bâtard-Montrachet. Citron mûr, épices douces, gingembre, finale riche en saveurs et avec un réel sens de l’équilibre.
Le plus complet depuis le rachat par Roederer, et une expression noble et complexe du terroir de Pauillac (notes de cèdre et de havane très fines), dans un corps retrouvant une grande plénitude et droiture. Il méritera peut-être une note...
Robe noire, nez étonnant de naturel entre le havane et les fruits noirs, avec même une touche florale rarissime à Pauillac, et peut-être apportée par les raisins bios. Texture suave, un rien moins de milieu de bouche que quelques voisins,...
Un des plus grands vins du millésime, d’un étonnant velouté de texture et d’un fruit d’une pureté admirable. Il confirme toutes ses promesses de naissance.