Lorenzo Ottaviano

Citronné avec une subtile tension, ce vin donne déjà du plaisir.

Des achats de raisins complètent la production du domaine en blanc. Vin peu enrobé, élancé, citronné, à la finale pure et fraîche.

Un idéal de corton-charlemagne, d’une race folle, d’une précision ultime, racé, quelle tension ! Longueur d’anthologie. Il semble en lévitation, plus aérien que n’importe quel autre blanc de Bourgogne sans ne rien renier de la profondeur minérale qui est la...

Originaire des Bressandes, en puissance, finale très pleine, belle longueur fraîche.

Beaux parfums de fruits et de fleurs, bouche gourmande pour une expression moyennement tendue, un vin à apprécier assez jeune.

Belle association gourmande de fleurs et de fruits frais, bouche élégante et ciselée, superbe fraîcheur, une étonnante minéralité pour un blanc du Rhône Nord ! À découvrir !

Puissant et corsé, finale tout en longueur, intense, racée, sur les fruits à noyaux.

Très grande ouverture du fruit dans un corton élégant, très fin, profond, puissant mais à la finale aérienne comme tout clos du roi.

Très mur, légèrement toasté, avec une structure volumineuse pour un corton distingué, à attendre.

Expression de fruits frais. Bouche ample, veloutée, tannins fins, juteux. Grande persistance, retour sur les épices. En devenir.

Dégusté lors de la manifestation syndicale du Roi Chambertin. Un fond splendide, le plus complet des villages ce jour-là.

Nez de cassis frais. Ample, superbes tannins soyeux, long et juteux. Finale un rien rustique par rapport au reste de la gamme. Très belle réussite au demeurant.

Blanc puissant, alcool perceptible, gras, équilibré, issu de vignes jeunes.

On a le soyeux, de l’élégance et une grande puissance derrière, on est sur un profil tannique avec une énergie vibratoire phénoménale.

Bouche très saline et iodée avec un tranchant bien habillé par le millésime. Il étire sa matière revigorante et profonde.

Du gaz dissous obligera à le carafer. Immensément long, c’est un bâtard-montrachet de grande élégance, racé à attendre impérativement.

Attaque délicate puis le chevalier prend de la densité avec du ressort.

Le plus grand aligoté du millésime, comme toujours, que l’on pourrait volontiers imaginer en meursault, le cépage ne le marquant pas. Noiseté et grillé, d’une superbe longueur. 600 bouteilles hélas.