Lorenzo Ottaviano

Corps d’une onctuosité charmeuse, parfum raffiné, délicatesse. Sur la séduction.

À l’aération des fragrances subtiles d’agrumes et de mangue réussissent à s’échapper du cocon protecteur constitué par des notes minérales et une bouche d’une pureté absolue.

La référence absolue en matière de goût et de texture pour ces charmes, avec une opulence qui transforme en top model la minéralité épanouie du cru de la maison. C’est le cru qui se montre toujours excellent.

Rond et charnu, avec une joliesse florale séduisante. La bouche est enveloppante, encore un rien pataude en finale. Il faut l’attendre deux à trois ans.

Opulence en attaque, avec derrière une trame enlevée et fraîche.

Nez d’une grande délicatesse, fruité, floral et minéral, on aime la combinaison de la maturité et de la fraîcheur, bouche souple, aromatique et nerveuse. Équilibré, énergique.

Conjugue ampleur et vigueur, intensité et volume, registre floral et épicé.

Généreux dans sa densité, avec le charme dû à son terroir, ce millésime gagne au fil de l’ouverture en complexité et en parfum de noisette et d’amande.

L’un des seigneurs de la cave avec une élégance dans l’énergie et une intensité de saveurs admirable.

Le tranchant du terroir de silex a pris de l’assise et de la complexité, on joue dans un style ciselé avec de l’éclat en finale.

Un fruité blanc et citronné croquant, une bouche tonique, pas beaucoup de chair mais franc et agréable, il va gagner en volume avec quelques mois de plus, belle salinité en finale.

Argile à silex en surface et calcaire pratiquement affleurant, tout y est dans cette cuvée très élancée et à ce stade un peu fermée.

Plus rond et plus gras que le chardonnay d’entrée de gamme, bouche vive et ciselée, très élégante.

Nez puissamment fruité et délicatement boisé, bouche ample, avec une trame savoureuse, une belle énergie, des arômes persistants et un bon équilibre.

Ces vignes ont été plantées en 1986 par le père de Jean-François pour le crémant. C’est un chardonnay gras et fin, au jus glissant, sans entrave.

Une résonance de folie ! Un jus ample et gras, élevé sobrement dans des fûts Klaus Pauscha. C’est salin, fruité, énergique, scintillant, avec une matière superbe.

Les vignes plantées en 1960, sur des terroirs de schistes à 417 mètres d’altitude, déploient toute leur dimension dans ce blanc profond et de grande nuance, riche et puissant.

Belle réussite pour ce vin qui présente un bel équilibre, de la pureté, des notes finement noisetées, du minéral et une finale saline superbe.