Lorenzo Ottaviano

Après évolution, le nez est extraordinairement complexe. La bouche est très tendue, minérale, et verticale.

Savoureux et parfumé, bouche élégante et équilibrée, finale encore un peu compacte, prometteuse.

Le rare melon à queue rouge sur argiles du Lias, franc de pied, donne ici l’une de ses expressions les plus accomplies. Notre cuvée préférée ! Vivace, complexe, ample et riche, c’est un blanc tonique au déroulé parfait.

À la fois puissant et élégant, un rosé de style, tout en nuances.

Très beau fruit charmeur et complexe, notes de fraise très savoureuses, allonge souple, finesse et persistance.

Gourmand et subtil, avec des notes de fraise des bois charmeuses et un corps très savoureux.

Vigoureux et profond, long et intense, minéralité, profondeur.

Très vertical, ce cru se montre sans concession, laissons-lui le temps de se détendre.

Ce savagnin vert offre une délicatesse et une ampleur monumentales ! Acidulé, juteux, il est hors catégorie.

Ce savagnin vert qui a attendu dix ans semble encore juvénile et pourtant quelle ampleur ! Sans voile aucun, il développe une tension énorme, sur des notes de fruit frais, dans un jus de grand éclat.

Bouquet floral, fruits noirs très purs. Bouche très concentrée, dense, charnelle. Tannins parfaitement enrobés, extraction parfaite. Beau vin en devenir.

Très coloré, savoureuses notes de cerise noire bien mûre, tannin fin, corps charnu, bel équilibre. Attendre idéalement deux à trois ans.

Il a tout, le fruit, la longueur, la profondeur et la tension. À la fois solaire et frais, c’est un magnifique premier cru de Montagny.

Dernier millésime avant arrachage, ce cru montre une énergie cristalline éclatante.

Net, tendu, presque plus « Montrose » que le grand vin, dont la densité magique dépasse le rapport à la tradition. Si le prix ne flambe pas ce sera un must dans ce millésime.

Notes d’olive, de prune et d’épices au nez, finesse moyenne, marqué par des merlots manquant un peu de caractère.

Bon moelleux de texture, demi finesse en bouche, net mais petit manque de race.

Jacquesson est champenois jusqu'à l'extrême. Respectueux du principe de l'assemblage, il n'en a pas moins développé une idée ultra exigeante de son style, intense, vineux, harmonieux, illustré pa ses cuvées 73.. et suivantes. Avec le recul, il peut maintenant proposer...