De vieilles vignes pour un rouge dense, profond, dans le même style friand et aromatique que le gevrey sans nom de cuvée mais d’une dimension clairement supérieure.
Tannin très velouté, assez puissant, un beau fruité, une finale gourmande et fraîche sur la cerise griotte, de longueur moyenne. Un charmes qui porte bien son nom.
Un côtes-du-rhône pas comme les autres, sophistiqué et vertical. Travaillé avec soin, il exprime des arômes nobles, minéralité et un toucher soyeux, avec beaucoup de fraîcheur en finale.
Tout comme le 2015, un style soyeux et vertical qui imprime une sensation de fraîcheur sur le palais. Fruité et floral, aux notes minérales qui sont la signature de la cuvée.
Unique dans son style, sans renier une pointe oxydative complexe, blanc très long, incroyablement long, qui a su jouer avec la finesse possible de ce millésime. De magnifiques fruits jaunes mûrs mais sans excès. Très racé.
Lui aussi présente un petit résiduel mais sa trame saline et sa fraîcheur en viennent à bout, il goûte riche mais élancé et serré en finale, lui aussi on peut l’attendre 4-5 ans minimum.
Nez plus parfumé et plus élégant que le muscat générique, pêche blanche, raisin muscat, tilleul. En bouche, équilibre parfaitement sec, style pur, assez haut en alcool transformé mais la salinité de fin de bouche souligne l’équilibre, très bon millésime pour...
Plus mûr et plus citronné que l’osterberg, une meilleure acidité qui amène de la vibration, forte colonne vertébrale dans le verre, verticalité, tension, droiture, finale asséchante, très classique dans son style.
Savoureux parfums de tisane et d’abricot sec, entame onctueuse, belle pureté rehaussée par la salinité en bouche, élégant, frais et droit, pas le plus liquoreux mais digeste et fin. De beaux amers minéraux soutiennent la longueur.