Lorenzo Ottaviano

Un modèle de champagne de dessert, sucré mais pas trop, très séducteur aromatiquement avec ses notes de fruits rouges et d’un grand velouté de bouche.

Plus que juste rosé, un superbe vin de garde. Frais, salin, tendu, aux petits fruits rouges, il va se complexifier dans les années à venir. Discret, réservé, rond en bouche, structure généreuse et corps souple, sa nature gastronomique ne fait...

Long en bouche, à la fois gras et tendu, les petits fruits rouges croquants et frais dessinent une bouche juste et fraîche. À table ou pour prendre un verre, il s’accordera.

Issu de marcs de blancs vieillis en cuve, ce macvin surclasse ses pairs. Large, puissant, d’une finesse inouïe, aux notes de cassis et d’épices, c’est un modèle d’équilibre où le sucre s’oublie.

Dominante poivre et framboise, la bouche est légèrement fumée, texture fondante et tannins élégants, tendre, gourmand, déjà prêt.

Croquant par son fruité rouge et ses parfums de fleurs, bouche souple et digeste, léger ce qui ne veut pas dire facile. Idéal pour les brasseries.

Fruité noir concentré, en bouche une trame minérale qui se double d’une charpente tannique plus prononcée, à laisser fondre quelques années en bouteille.

Une chair et un corps que n’offre pas le pinot noir classique, une belle texture et de la rondeur.

Un joli nez associant des notes de fruits rouges bien mûrs à d’autres plus terriennes, avec un fond épicé. Les tannins sont parfaitement graissés en bouche, un vin suave et élégant, où les petits amers domptent bien la haute maturité...

Bon fruité ample, tannins fondus en bouche, il mérite un verre ample, bon volume alcoolique, bien maîtrisé, les pinots noirs étaient bien mûrs.

Un jus fondant et particulièrement velouté en bouche, grand charme tactile, finesse des parfums de sous-bois, un élevage vanillé encore un peu perceptible mais l’équilibre est là, finale sur le moka. On peut déjà l’apprécier, à boire dans les 3-4...

Un fruité rouge fondant et frais, une bouche délicate et suave, ici on a plus travaillé par infusion que par extraction, le toucher est superbe, et il ne manque pas de fond.

Un corps plus massif que le clos-de-la-faille, un tannin en 3D, épais et long, la texture serrée absorbe déjà l’élevage malgré les 25 % de bois neuf, on peut attendre qu’il se délie un peu.

On retrouve la trame et la puissance du Hengst en bouche, avec déjà une emprise minérale, il reste cependant sur la réserve et on va patienter. Le toucher de tannins est d’un magnifique velouté, une grande bouteille en préparation, finale...

Un nez bourguignon, aérien, rose fanée et fruits rouges, une bouche de taffetas, très légère, fondue, en dentelle, mais sans la persistance saline du grand-h.

Parfums élégants de cerise et de framboise, entame veloutée, toucher harmonieux, équilibre, fraîcheur et finesse. Prendre le soin de l’aérer.

Un pinot noir associant les fleurs aux fruits noirs, belle trame de bouche, tannins fins et droits, structure sérieuse dans un millésime qui sourit au cépage.

Un jus soyeux et délicat en bouche, un fruité très pur, gourmand, framboise et cerise, haute maturité du tannin pour ce vin fin et très harmonieux, il est déjà délicieux.