Lorenzo Ottaviano

Assemblage de premiers crus élevé avec un boisé gourmand, fruité fin, délicat. Un vin élégant bien que le nez n’est pas en place pour l’instant.

De vieilles vignes pour un rouge dense, profond, dans le même style friand et aromatique que le gevrey sans nom de cuvée mais d’une dimension clairement supérieure.

Tannin très velouté, assez puissant, un beau fruité, une finale gourmande et fraîche sur la cerise griotte, de longueur moyenne. Un charmes qui porte bien son nom.

Fruité de griotte, bouche délicate mais avec du nerf, longueur aromatique.

Cerise fraîche au nez comme en bouche avec de l’élégance et un fruit déjà bien dégagé.

Vingt cépages mêlés dans un jus aimable et friand, épicé et frais. La joie de vivre.

Un côtes-du-rhône pas comme les autres, sophistiqué et vertical. Travaillé avec soin, il exprime des arômes nobles, minéralité et un toucher soyeux, avec beaucoup de fraîcheur en finale.

Tout comme le 2015, un style soyeux et vertical qui imprime une sensation de fraîcheur sur le palais. Fruité et floral, aux notes minérales qui sont la signature de la cuvée.

Assise sur le fruit et les épices bien tenue.

Unique dans son style, sans renier une pointe oxydative complexe, blanc très long, incroyablement long, qui a su jouer avec la finesse possible de ce millésime. De magnifiques fruits jaunes mûrs mais sans excès. Très racé.

Profil fidèle au terroir et au millésime, avec une tension subtile.

Rondeurs noisetées d’une belle harmonie.

Texture crémeuse avec du dynamisme et la complexité que l’on recherche sur ce grand cru.

Lui aussi présente un petit résiduel mais sa trame saline et sa fraîcheur en viennent à bout, il goûte riche mais élancé et serré en finale, lui aussi on peut l’attendre 4-5 ans minimum.

On est dans l’opulence et ce qu’il faut de fraîcheur, sur fond de fruits jaunes.

Nez plus parfumé et plus élégant que le muscat générique, pêche blanche, raisin muscat, tilleul. En bouche, équilibre parfaitement sec, style pur, assez haut en alcool transformé mais la salinité de fin de bouche souligne l’équilibre, très bon millésime pour...

Plus mûr et plus citronné que l’osterberg, une meilleure acidité qui amène de la vibration, forte colonne vertébrale dans le verre, verticalité, tension, droiture, finale asséchante, très classique dans son style.

Un oncle bien incarné dans ce cru tout en frivolité crémeuse.