Lorenzo Ottaviano

pinot noir En Barberon

Ce pinot 100 % grappes entières, sur argiles, sans soufre, montre un jus ferme et épicé, frais et chatoyant.

Poyeux

On est plus dans l’élégance et le soyeux que dans l’intensité d’un 2011. Expressif dans sa poyeusité, ce millésime charme déjà.

Poyeux

Poyeutant du début à la fin de bouche avec une énergie habillée de velours côtelé, ce millésime commence à bien émerger.

Poyeux

Soyeux cerisé avec cette profondeur enrobée qui fait le charme de ce millésime exceptionnel, c’est très bon et ce sera excellent dans quelques années.

Perrières

Tout en fraîcheur, ce vin est très raffiné avec une forme de salinité en finale.

Perrières

Le vin s’est refermé mais on en perçoit tout le potentiel.

Peur Bleue

Une belle matière richement extraite donne à la fois de la vivacité, de l’élégance et de la puissance à cette cuvée. Très beau travail.

Piedlong

Légèrement refermé depuis l’année passée, il reste merveilleusement délicat et d’une superbe floralité. À conserver quelques années avant d’y toucher.

Oger Grand Cru

Le tranchant et la minéralité d’un tel cru appelle le homard.

Joséphine

Intensité et race, encore très jeune grand potentiel d’avenir, donnons-lui le temps.

Joseph Drouhin

Bouquet très fin aux notes de tilleul, bouche harmonieusement ample, belle fraîcheur. Impeccable dans son registre.

Jacques Boyd

Harmonieux, peut-être même plus que le grand vin, notes racées de cèdre, droit, encore un peu ferme, précis, authentique.

Javernières Les Impénitents

Exceptionnel de finesse et d’harmonie. Le style réducteur des Desvignes ne rend pas la dégustation aisée. Il faut patienter pour découvrir toute la profondeur de ce grand vin. Magnifique réussite. Digne des plus grands vins de France.

Jacques Boyd

Assez tendre, droit, net, très franc de tannin, facile et séducteur dans le contexte du millésime.

Joseph Drouhin

Très original, aromatique, de constitution moyenne pour un clos-de-bèze, mais finale de grande qualité malgré un léger sec.

Joseph Drouhin

Délicat, facile à boire dès maintenant, finale élégante.

Oryzeaux

Sur une base de 2012, on sent la bulle slavivante, celle qui vous envoie directement au Kremlin. Le 2008 va encore plus loin... Le dosage lui va bien.

Oenophile

Droit, énergique, minéral, ce vin est taillé pour la langouste.
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