De la finesse, nous l’avons goûté juste après la mise qui le serrait un peu, caractère de terroir marqué, du style et un impeccable équilibre. Il devrait progresser en bouteille et sa notation pourra évoluer.
Nez élégant où le variétal laisse la place au minéral, bouche fondante au toucher onctueux, une jolie trame saline qui assèche bien le résiduel, on peut encore l’attendre. La puissance de la finale promet beaucoup.
De grande fraîcheur, une énergie brillante dans l’appellation, complexe, très précis, avec des tannins intégrés, sans aucune couture qui dépasse. Quel talent !
Son équilibre bâti autour de 15 g/l de résiduel empêche de l’apprécier aujourd’hui, sa puissance et sa minéralité en bouche en font un vin de patience. Son bel alcool transformé (14°) permet de l’associer à un homard, mais d’ici quelques...
À la recherche d’un bonnes-mares plus détendu que par le passé, le domaine a produit un petit monument de complexité, sensuel, plus aérien que la plupart des bonnes-mares dégustés cette année.
Matière superlative, tannin aérien comme il se doit, d’une subtilité rare, finale très fine. Bouche très fraîche portée par des fruits rouges distingués. Longueur exceptionnelle.
Grand fruit, grand style, jus magnifique, une bouteille splendide à entrevoir après le vieillissement en cave dont son sérieux de construction a besoin.
Boisé fin, notes d’orange délicate, tannin très fin, long, charmeur, en délicatesse. Un échezeaux romantique, à réserver pour une saint-valentin d’après 2020. Tenir jusque-là.
Le nez est encore discret. L’entame de bouche est d’une grande pureté, sur les herbes et la tisane, la mirabelle confite. La très belle acidité donne une énergie et un tonus salivants en bouche, la finale pure cache bien sa...
Une pureté magnifique, comme toujours, elle remet l’église au centre du village après une belle série de grains-nobles, une dominante d’agrumes citronnés, une fraîcheur magnifique et surtout un charme fou, porté par une persistance presque tannique dans sa texture. Magique.
Puissants parfums d’écorce d’orange et de caillou frotté, bouche d’une remarquable pureté sur le zeste, prodigieuses élégance et finesse, tension, précision, verticalité, l’acidité est magique. C’est le sommet de la cave dans le millésime, et sans doute l’un des sommets...
Très calé sur les fruits rouges, grand cru de superbe longueur, puissant mais sans excès, issu des Mazoyères dont il a capté la finesse native. Très frais, harmonieux, équilibré.
Parfums très purs de fruits frais (pomme et poire), bouche ciselée et vive, agréable, digeste, acidité tonique mais on sent plus le passerillage que le botrytis.