Cos a été au coeur des débats sur "l'américanisation des bordeaux" (trop de bois, trop d'alcool, trop de merlot...) à la fin de la décennie précédente. Il revient aujourd'hui à un classicisme modernisé aussi impressionnant que brillant. Son 2014 à la grande robe, au corps et à la texture profonds, aux notes de prune de raisin parfaitement mûr, se révèle long, racé, de grand avenir. Il annonce des 15 et 16 exceptionnels.