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Assemblage de premiers crus, vinifié avec une partie de récolte en raisins entiers. Particulièrement profond, vin d’une rare concentration en AOP Beaune. Dans un style plus sérieux que le volnay-brouillards mais de grande race.

Élevage luxueux pour ce vin gras et rond, puissant et élancé dans sa finale. On l’attendra un peu pour que la matière se dégage.

Sur une base 2012, on a une expression encore plus pure de cette magnifique cuvée qui porte l’intensité du chardonnay tout en conservant l’élégance.

Harmonieux, rond et plein, très joli fruit. Prêt à boire.

Délicatesse et pureté, grand raffinement de texture, notes de zeste d’agrumes et de fleurs blanches superbes, pas en force mais en finesse.

Plus meursault qu’auxey mais le plus long des auxeys dégustés au domaine. Longueur superbe sur le miel, les petits fruits jaunes délicats, mûrs et racés, d’une grande élégance.

Réalisé à partir de six différents millésimes dont le plus jeune est 2003, associant vins de réserve (vins tranquilles vieillis en cuve ou en foudre) et champagnes remis en cercle, c’est à dire débouchés puis champagnisés à nouveau avec l’assemblage...

Très grande intensité et grande vinosité, voilà un grand champagne de table qu’il faut impérativement attendre.

Une pointe fumée dans les arômes, la bouche est pure et vibrante, mais sans la salinité ni la densité du furstentum dans cette qualité. Son élégance est son meilleur atout.

Une robe plus claire que le 2006 dans la même cuvée. Une liqueur de pâte de fruits, une onctuosité particulièrement gourmande, belle vivacité équilibrante assortie d’une pointe saline qui accentue les saveurs, on ne quitte pas le registre de la...

Le vin n’est pas encore assez précis sur le plan aromatique mais évidemment fait avec des raisins botrytisés un peu moins nobles que ceux du grand vin.

L’archétype du monbazillac, puissant, expressif. Un modèle d’équilibre pour une telle richesse. Cette cuvée madame est une nouvelle fois le sommet de la dégustation.

Impressionnant ! Des notes de chocolat et de cerise burlat parcourent une matière de grand élan, fondue et précise, d’une longueur géniale.

Épuré, tendu par des amers minéraux qui lui donnent une rare élégance, il se délie progressivement et demande un peu de patience, grosse réserve et bel avenir, mais pas prêt. Un muenchberg dans un style puissant et costaud.

Le plus épanoui des pinots gris du domaine, et un modèle absolu pour toute l’Alsace. Bouche épurée à la texture fondante, une puissance sous-jacente bien épaulée par l’élégance du toucher, allonge, précision, encore très jeune, subtil retour salé en finale.

Arômes frais, bouche digeste mais assez légère, à apprécier jeune, sans le corps du 2015.

Il possède un résiduel très marqué, les beaux parfums de fruits sont gourmands mais il faudra l’attendre très longtemps. C’est un style, la cuvée a rarement affiché autant de sucre.

Parfums plus en finesse que le 2016, moins variétaux, bouche avec une texture arrondie, équilibre sec.