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Grande fraîcheur, un zeste mieux construit que le 2009 avec une relance toute en fraîcheur et raffinement.

Sur la réserve, ce cru mérite le détour de papille avec une suavité raffiné en attaque et une belle persistance derrière.

Style plus immédiat que le 2011, très expressif dans le registre de l'élégance.

On est là sur un sommet du millésime en cabernet, grâce à la texture veloutée, la profondeur et la fraîcheur.

Tannin au fruité énergique avec une retenue pour l’instant, il convient donc de l’attendre.

Commercialisé après un long vieillissement, ce 1999 est à maturité, complexe, il libère des arômes encore frais de fruits noirs et d’épices, il ne renie pas ses origines, structuré, puissant, viril. Parfait à table.

Peut-être la plus aboutie des trois cuvées dans son expression de tannin. Ourlé, gourmand, racé comme il se doit mais sans aspérité. Marlène n°3 n’est pas un troisième vin mais une autre expression des terroirs de Marlène. Et en perfection...

Nez généreux, unique, original, rappelant le myrte mais avec une touche de népita (menthe poivrée locale), toucher de bouche délicat et délicieux.

Grande expression du nielluccio, chair de vieilles vignes, longueur, complexité, au sommet du rouge corse.

Souple, suave, charnu, avec la belle nervosité mûre du millésime.

Gevrey bien constitué, tannin aérien, bouche gourmande, joli jus. Belle réussite dans l’absolu et grande réussite en gevrey village, finale saline et savoureuse. C’est une cuvée à rechercher mais hélas, elle croule elle aussi sous la demande des aficionados.

Jolies notes empyreumatiques, tannin très fin, aérien, beaucoup de subtilité. Le boisé se fond progressivement. Que de délicatesse !

Grands-échezeaux atypique car plus en densité que ses pairs, profond, avec des notes de cuir et de fumé, long, très long.

Très concentré, puissant, plein et profond, un clos-de-la-roche parti pour une grande garde. Sensuel et ferme comme son finage les permet.

Robe couleur fraise écrasée, arômes de fraise des bois, vin en délicatesse qui s’inscrit dans la finesse habituelle de Chambolle.

Plus aérien que le chambertin comme à l’accoutumée, raffiné, avec un rien moins d’allonge que ce dernier, souverain dans ce millésime.

Souverain dans la qualité de son tannin, d’une sensualité hors pair, d’une dimension hors norme. Le roi chambertin en impose dans ce millésime.

L’équilibre de ce bonnes-mares est très abouti, issu du côté Chambolle et non Morey comme beaucoup de bonnes-mares. D’une rare subtilité, salin et très fin. Très grande bouteille mais pour les patients.